Malgré la volonté du président Mohamed ould Abdel Aziz de lutter contre la corruption, le favoritisme et l’injustice, certains directeurs d’institutions nationales s’adonnent toujours aux actes de népotisme voire de racisme.
L’affaire qui défraie la chronique depuis quelques jours le département 700 de la société nationale des industries minières (SNIM) de Nouadhibou en est une parfaite illustration.
En effet dés mi mai le poste de chef section criblage et concassage de 712 est vacant, son occupant est muté à la section nettoyage.
Le surveillant d’opération de la section criblage et concassage auquel revenait de droit le poste a été surpris de voir le poste attribué à un autre ; qui est surveillant d’opération de chargement ,donc de la section différente ( 711).
Pire le nouveau ‘’chef’’ n’a que trois ans d’expériences (embauché en 2007) et vient de terminer son stage de déroulement de carrière (4mois
après) alors que son ‘’adjoint’’ est un BTS qui maîtrise parfaitement le chantier de catégorie M4 avec 10 ans d’expérience
Selon des informations de sources concordantes , le « chef ‘’ serait tout simplement parachuté sous l’influence de son frère cadre à la snim de Nouadhibou
.
On se croirait dans une ère où on mettait ‘’l’Homme qu’il faut à la place qu’il faut ‘’ hélas les vieilles pratiques sont toujours là.
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